Lu Xun est l'auteur de six à sept cents essais, textes courts généralement publiés en revue, puis regroupés en recueil. Il y critique la civilisation et la société chinoises, l'impérialisme, y défend la jeunesse et l'émancipation des femmes.
Cette activité de journaliste est d'une grande diversité tant par la forme (articles polémiques, réflexions, critiques...) que par les sujets traités. Mais cette diversité apparente n'empêche pas une unité profonde, qui se manifeste au travers de certains thèmes dominants, comme l'interrogation sur le « caractère des Chinois » ou la mission de la littérature, conçue comme un cri d'appel pour réveiller les consciences. Si la littérature a en commun avec la révolution le refus de l'ordre des choses, elle s'en sépare dès lors que la révolution, une fois victorieuse, devient un nouveau pouvoir.
(Wikipedia)
Ce volume comprend trente essais, initialement parus entre 1918 et 1931.
Mais la présentation de l'ouvrage, due à un auteur fasciné par la dite révolution culturelle, s'avère aussi datée (1976) que caricaturale.

À tout hasard.

Le livre est bien