"Un navire emporte vers les terres à demi barbares d'Ilhéus, au sud de Bahia, le capitaine Joao Magalhaes, Margot, Juca Badaro, Antonio Vitor et bien d'autres encore. Une chanson les accompagne, triste comme un présage de malheur, qui dit qu'ils ne reviendront jamais parce que là-bas, la mort les attend derrière chaque arbre."
Un récit épique, plein de fureur et de sang, de cruauté et d'amour, dans ces terres où tout est exacerbé, où poussent les cacaoyers et sévissent les serpents. J'ai beaucoup aimé.

Pour la fête de l'équinoxe, un livre de ta wishlist. Joyeux printemps et bonne lecture !

De retour à la fin d'une longue journée, je trouve ton envoi dans ma boîte à lettres (le facteur a fait durer le suspense en passant plus tard que d'habitude). Merci beaucoup, Indy2012.
La fête de l'équinoxe bat son plein.

Commencé ce matin. Départ en bateau pour des terres du Sud...

La ruée vers les cacaoyers, le travail dans les plantations... Un jour Damiao cesse d'être ce qu'on attendait de lui et va voir J.

Les fazendeiros, ces planteurs de cacao des terres du Sud, rivalisent entre eux. Luttent pour conquérir des terres vierges. On n'hésite pas à tuer. Une chanson d'esclaves hante la région. La mort peut frapper derrière chaque arbre. Bien aimé ce roman sans fard.

Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)