Alors que son père se meurt, Tan quitte les Etats-Unis où il réside depuis de longues années pour revenir en Inde, dans sa province natale. Dans la chambre des parfums, où repose le corps de son père avant la crémation, Tan réalise combien il s'est éloigné de sa culture d'origine. Écartelé entre hindouisme et christianisme, entre une société de castes et des sympathies d'extrême gauche, il devra apaiser le conflit intérieur qui, jusqu'alors, n'a cessé de le déchirer. Qualifié de "Philip Roth indien" par la critique, Inderjit Badhwar conjugue avec une rare maîtrise lucidité, humour et émotion. Premier roman en grande partie autobiographique, La Chambre des parfums s'est classé, dès sa sortie en Inde, dans les meilleures ventes, et a obtenu, en France, le Prix du premier roman étranger en 2004.


reservé bbv EDM

parti ce matin vers la Suisse
bonne lecture Souram :)

La Chambre des parfums m'est parvenu aujourd'hui en ce samedi venteux, tout bouge un peu en même temps en ce mois de mars, avec tant de livres en voyage :) Merci, Baboul333.

Entamé hier soir. J'y reviendrai.

Humour et moments très sérieux dans ce roman. Une famille en Inde qui balance entre hindouisme et christianisme. Le tout à l'époque des manifs contre la guerre du Vietnam. Le père vieillit et ne comprend pas bien le monde technologique: pour lui un serveur est un employé de restaurant.

Très prenant ce roman. Inderjit Badhwar est né en 1943 ou environ en Inde; pas des masses d'infos sur lui.

Un bébé naît dans un contexte qui peut faire rire.

Terminé. Humour, émotions, relations assez mouvementées avec le monde occidental bien des moments forts.