Sixième volet des aventures du commissaire Soneri, qui nous ramène sur les rives du Pô où le brouillard cache de lourds secrets datant de la Seconde Guerre mondiale. Comme toujours, pour apprécier les romans de Varesi, il faut privilégier l'ambiance et les sentiments humains à l'action.

trouvera, je l'espère, preneur à notre rencontre de ce soir.

Attrapé lors de notre rencontre mensuelle le premier mercredi de chaque mois

Ambiance fascinante ou lugubre (c’est au choix) sur les rives du Pô sujettes à bien des trafics et des histoires venues d’un autre époque. L’enquête du commissaire Soneri nous entraîne dans une navigation en eaux troubles où les brumes matinales se disputent aux brouillards nocturnes. Les états d’âme remontent à la surface tout comme les odeurs pestilentielles ou encore le corps d’un Hongrois assassiné dont le visage baigne dans la boue collante.

Sera libéré le 2 novembre lors de notre rencontre mensuelle (le premier mercredi de chaque mois)

Encore un Varesi, chouette !

Décidément, on ne s'en lasse pas !

Un Varesi proposé à notre rencontre mensuelle de BCeur(se)s strasbourgeois?
...Et en +, l'un des bouquins notés sur ma liste de souhaits!
Vite dans mon panier!!!! Mé réjouis déjà de le lire....
( Vais je le faire passer tout en haut de ma montagne ?? La tentation est grande..)

Comme d'habitude, on est à fond dans l'ambiance, avec Varesi.
Dans le brouillard épais du Pô.....qui cache de biens sombres activités.
Ça magouille, ça farfouille, ça zigouille aussi, dans les épaisses brumes du fleuve. Le commissaire Soneri a du boulot, entre le présent et le passé....les secrets bien gardés qui remontent aux pires moments de la seconde guerre mondiale..., les nouvelles donnes des trafics apportées des pêcheurs des pays de l'Est, et ses propres états d'âme entre passé et futur dans une société qu'il a de plus de mal à comprendre et accepter...
Je reste toujours ébahie par la capacité qu'a cet auteur à décrire une atmosphère, on a presque l'impression d'être présent dans ce brouillard, dans l'humidité du fleuve.
Quant à l'intrigue, elle accroche drôlement bien, tout comme les personnages, bien croqués. A noter, comme d'hab, les dialogues pleins d'humour entre le légiste Nanetti et Soneri et les interventions toujours décalées de l'imprévisible Angela.
Que du bon!!

Hop, sur la table de notre QG occasionnel ( Marché-bar fermé ), je laisse le bouquin à l'un ou l'une des bookcrosseur(se)s de Strasbourg, réuni(e)s pour la rencontre du mois et....la galette apportée par Mirajeu et Garamond.

J'aime beaucoup Varesi et je n'ai pas encore lu celui-ci. Vite, dans mon sac !

Une mélancolie certaine coule avec le Pô, le fleuve qui avale tout, qui charrie, qui restitue.. ou pas.

Tu en rêvais, le voici ! Bonne lecture :)

Un livre qui a bien circulé à Strasbourg. Voilà que les rives du Pô me renvoient à ce petit livre "Le muret", où l'on apprend que le Pô, justement passe à Turin et baigne le centre de perfectionnement technique de FIAT.
Merci pour ce livre de ma liste de souhaits!