Les disparus de la lagune
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Une enquête dont le dénouement saute aux yeux presque dès le départ et qui laisse, une fois de plus, un Brunetti désabusé face à la puissance des grandes compagnies, l'inertie de l'administration et la corruption de la classe politique.
Préparé pour la rencontre de Mai. Si je ne peux pas y aller, je le relacherai ultérieurement.
...Bouquin récupéré au Marché bar, lors de notre rencontre de BCeur(se)s de mai....
Je ne peux pas laisser passer un Brunetti!!
Je ne peux pas laisser passer un Brunetti!!
....Brunetti, même coincé sur une petite île de la lagune vénitienne pour un repos imposé par une espèce de burn-out, arrive encore à débusquer une affaire bien sordide à élucider, après avoir trouvé le cadavre de l'ami de son père, avec qui il venait lui aussi de se lier d'amitié lors de son “retour à la nature“.
J’avais déjà lu des livres de Donna Leon qui dénonçaient les pollutions liées à des déchets toxiques autour de Venise, mais celui-ci évoque la nature malmenée et détruite par les hommes ( paysages, flore, faune, - plus spécifiquement les abeilles ) avec plus de profondeur, et beaucoup de nostalgie, nostalgie de Venise avant les marées de touristes et les arnaques aux souvenirs made in China, avant la pollution ; la nostalgie aussi quand Brunetti pense à ses parents....- beaucoup de références à ce que sa mère lui inculquait petit-..., concernant son rapport aux autres et son rapport face au handicap . Pas un Brunetti habituel…
Mais j’ai bien aimé, et suis ressortie de ma lecture bien nostalgique aussi, bien dégoûtée une fois de plus par le pouvoir du fric et du profit qui fait oublier aux hommes combien la Terre est belle et fragile.
J’avais déjà lu des livres de Donna Leon qui dénonçaient les pollutions liées à des déchets toxiques autour de Venise, mais celui-ci évoque la nature malmenée et détruite par les hommes ( paysages, flore, faune, - plus spécifiquement les abeilles ) avec plus de profondeur, et beaucoup de nostalgie, nostalgie de Venise avant les marées de touristes et les arnaques aux souvenirs made in China, avant la pollution ; la nostalgie aussi quand Brunetti pense à ses parents....- beaucoup de références à ce que sa mère lui inculquait petit-..., concernant son rapport aux autres et son rapport face au handicap . Pas un Brunetti habituel…
Mais j’ai bien aimé, et suis ressortie de ma lecture bien nostalgique aussi, bien dégoûtée une fois de plus par le pouvoir du fric et du profit qui fait oublier aux hommes combien la Terre est belle et fragile.
....Rencontre dans un jardin des Bosseur(se)s strasbourgeois ce 3 août bien chaud.
Au programme : grignotages, petits rosés, et surtout tentatives d'équilibrage des PAL.
Je compte sur Mirajeu pour prendre ce livre....elle m'avait l'air bien intéressée la fois dernière!
Au programme : grignotages, petits rosés, et surtout tentatives d'équilibrage des PAL.
Je compte sur Mirajeu pour prendre ce livre....elle m'avait l'air bien intéressée la fois dernière!
"Surmené et épuisé, le commissaire Brunetti décide de prendre des vacances. Loin de Paola et de la questure, il s’offre un séjour en solitaire dans une villa de l’île de Sant’Erasmo. Au programme : ramer sur la lagune et ne penser à rien. Sa retraite tourne court quand le gardien de la propriété disparaît. Contraint de mener l’enquête, Brunetti voit ses vacances virer au cauchemar. Et dans les brumes de la lagune vénitienne, de bien vilains secrets refont surface… (4ème de couverture)
Pour les lecteurs habitués des "Brunetti" comme j’aime appeler ces romans… on est bien loin des calle vénitiennes et des petits plats typiques !!! Et pas de répit pour Brunetti !!
Pour les lecteurs habitués des "Brunetti" comme j’aime appeler ces romans… on est bien loin des calle vénitiennes et des petits plats typiques !!! Et pas de répit pour Brunetti !!