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Phénomène littéraire sans équivalent depuis les années 50, roman de l'adolescence le plus lu du monde entier : l'histoire d'une fugue, celle d'un garçon de la bourgeoisie new-yorkaise chassé de son collège trois jours avant Noël, qui n'ose pas rentrer chez lui et affronter ses parents. Trois jours de vagabondage et d'aventures sordides, cocasse ou émouvantes, d'incertitude et d'anxiété, à la recherche de soi-même et des autres.

Après des années de pression "il faut le lire absolument" auxquelles je résistais par esprit de contradiction, voilà, j'ai comblé cette lacune, et je peux dire que j'ai lu "L'attrape-cœurs". Avec plaisir, en plus. Ce long récit de pure oralité fleure bon la sincérité et l'authenticité, et je comprends l'engouement qu'il a suscité.
Je note que curieusement sur mon exemplaire, chez Pocket, à la couverture identique de celle de l'image, "cœur" s'écrit sans S.

A l'occasion de la grande tombola de l'été, pour l'alibi ou la gagnante. Bonne lecture !

Bien arrivé

Bonne lecture