Vacances indiennes
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Même dans une traduction française parsemée de coquilles (logde au lieu de lodge) ce livre reste drôle.
Je concède que les coquilles ne sont pas assez nombreuses pour constituer un ressort comique solide*, mais les aventures de Dave et Liz en Inde sont marrantes.
Delhi. Simla. Manali. L'Himalaya...
Liz aime James (ce n'est pas gribouillé sur un mur, c'est dans le bouquin) et elle est partie tout de même avec Dave**. Jeremy, alias "djay" (J.) qu'ils rencontrent à Delhi est un British comme eux qui, lui, prétend tout connaître de l'Inde et lit le ou la Bhagavad Gita (qui a dit "pàl" ?). L'ouvrage est plein de gags, d'anecdotes, d'humour presque à la Woody Allen sur l'Orient, l'Occident et les malentendus sur les cultures.
Un vrai récit de voyage/humour. C'est plus dispersé que Nigel Barley qui, lui, est ethnologue, alors forcément c'est très différent.
- J'aime James ! explique Liz à Dave pour qu'il comprenne pourquoi il ne doit pas y avoir de sexe entre eux. (ça me rappelle l'épée entre Tristan et Iseut)
*unlike un recueil de gags acheté en vacances qui surabondait de coquilles au point que je me suis pris à croire que les coquilles faisaient partie du jeu...
**Ce Dave que je ne connais ni Dave ni d'Adam a de la veine. J'ai bien fréquenté au lycée une copine qui aimait un James (l'équivalent du James de ce livre, mais avec un autre prénom) mais serait-elle allée en Inde (ou à la rigueur en Italie) avec moi ? Rien n'eût été moins sûr.
Je concède que les coquilles ne sont pas assez nombreuses pour constituer un ressort comique solide*, mais les aventures de Dave et Liz en Inde sont marrantes.
Delhi. Simla. Manali. L'Himalaya...
Liz aime James (ce n'est pas gribouillé sur un mur, c'est dans le bouquin) et elle est partie tout de même avec Dave**. Jeremy, alias "djay" (J.) qu'ils rencontrent à Delhi est un British comme eux qui, lui, prétend tout connaître de l'Inde et lit le ou la Bhagavad Gita (qui a dit "pàl" ?). L'ouvrage est plein de gags, d'anecdotes, d'humour presque à la Woody Allen sur l'Orient, l'Occident et les malentendus sur les cultures.
Un vrai récit de voyage/humour. C'est plus dispersé que Nigel Barley qui, lui, est ethnologue, alors forcément c'est très différent.
- J'aime James ! explique Liz à Dave pour qu'il comprenne pourquoi il ne doit pas y avoir de sexe entre eux. (ça me rappelle l'épée entre Tristan et Iseut)
*unlike un recueil de gags acheté en vacances qui surabondait de coquilles au point que je me suis pris à croire que les coquilles faisaient partie du jeu...
**Ce Dave que je ne connais ni Dave ni d'Adam a de la veine. J'ai bien fréquenté au lycée une copine qui aimait un James (l'équivalent du James de ce livre, mais avec un autre prénom) mais serait-elle allée en Inde (ou à la rigueur en Italie) avec moi ? Rien n'eût été moins sûr.
C'est plus drôle avant la page 255. Au-delà de cet équateur, l'histoire prend une tournure plus dramatique.
VIV intéressée.
VIV intéressée.
Journal Entry 4 by souram at By mail / post / courier, By Mail/Post/Courier -- Controlled Releases on Sunday, March 20, 2016
Released 8 yrs ago (3/21/2016 UTC) at By mail / post / courier, By Mail/Post/Courier -- Controlled Releases
CONTROLLED RELEASE NOTES:
Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)
Profitez du présent, n'attendez pas après-demain.
"Vacances indiennes" part chez Viv-Vivenef.
Si j'en crois les prénoms écrits sur la page de garde, ce livre a déjà voyagé, quoique hors du bookcrossing.
Profitez du présent, n'attendez pas après-demain.
"Vacances indiennes" part chez Viv-Vivenef.
Si j'en crois les prénoms écrits sur la page de garde, ce livre a déjà voyagé, quoique hors du bookcrossing.
bien arrivé il y a quelque temps déjà. Grand merci à toi!
Les vacances indiennes vont m'accompagner en Grèce
Les vacances indiennes vont m'accompagner en Grèce
Quelques moments drôles effectivement et une délectable description des désordres intestinaux qui guettent tout voyageur dans ce pays mais j'ai peu retrouvé l'Inde à travers ces regards déformés par les préjugés de tous poils...
Le narrateur m'était plutôt insupportable et que dire de Liz qui bat tous les records d'hypocrisie !
Le narrateur m'était plutôt insupportable et que dire de Liz qui bat tous les records d'hypocrisie !
Journal Entry 7 by VIV-VIVENEF at -- Somewhere in town in Athens - Αθήνα, Attica Greece on Thursday, April 21, 2016