Plus ça va, plus je pense que le ciel s'amuse avec nous...
D'abord il nous donne de l'espoir, puis du désespoir...
Ensuite, il nous donne du bonheur, puis du malheur. Comme si les friandises fondaient dans nos mains avant même que nous les ayons mangées.
(4ème de couv.)

Les dessins rappellent le style des mangas japonnais et font un peu oublier que l'autrice est taïwanaise.
Ce style me sort de ma zone de confort, je n'aime pas tellement les BD.

Ce livre a fait une étape chez moi. Je vous le confie, son voyage continue entre vos mains.

Bienvenue dans le monde du bookcrossing et bonne lecture !

Un manhwa taiwanais je crois que manga hors du Japon en pays chinois et coréen on dit manhwa. Possible.
Récupéré au restaurant thaïlandais Palmiers ��

Ren Zheng-Hua commence sa carrière de dessinatrice dans une revue hebdomadaire de BD en 1989. Elle publie ensuite de nombreux feuilletons dont certains sont repris en recueils, tels ''Les petits pains farcis de chair humaine'' en 1993, ou ''La famille entêtée'' en 1995. Elle signe même un manuel de dessins de manhua en 1999. ''Le Fils'' reçoit, en 2004, le prix du meilleur scénario de l'Agence de presse et, en 2005, le prix de l'Institut national chinois de compilation et de traduction.
(Babelio)

L'autrice est née à Taipei (nord de l'île Taiwan, -pei / bei = nord)

Nous sommes dans les années 1930 à Taiwan. Un jeune homme est "promis" à une fille de notables, Linda, alors qu'il aime une fille de la campagne qu'il connaît depuis leur enfance. Moments émouvants, et divers éclats zèbrent la vie de ces personnes... A des lieues (des "lis") de l'arrière-plan politique totalement absent, chacun.e essaie de ne pas se laisser briser par les coutumes. Rien n'est simple. La pluie insistante scande ce récit comme si le ciel pleurait ou mettait à l'épreuve la résistance des personnes.

Il ne t'est jamais donné de rêve sans le pouvoir de le réaliser. (Richard Bach)